Hâtons-nous de succomber à la tentation, avant qu'elle ne s'éloigne | Esmeralda & Phoebus

Hâtons-nous de succomber à la tentation, avant qu'elle ne s'éloigne

Phoebus pensait beaucoup à cette jeune femme, il ne pouvait le nier. Il en avait même rêvé, et l’envie de la revoir, et de devenir plus intime avec elle le tentait de plus en plus. Pour sa défense, la jeune Esmeralda représentait tout ce qu’un homme pouvait chercher, et plus encore. Ce n’est pas pour autant qu’il oubliait Fleur-de-Lys et ses engagements vis-à-vis de sa fiancée, il comptait toujours l’épouser. Mais il n’avait pas envie de résister au désir et à la tentation qu’évoquait la bohémienne chez lui, d’autant plus, qu’elle semblait loin d’être insensible à son charme, ce qui arrangeait bien ses affaire, sans l’ombre d’un doute.

Quoiqu’il en soit, il n’avait pas encore revu la jeune femme depuis la dernière fois, mais cela ne saurait tarder, et il se pourrait bien qu’il force un peu le destin en plus de cela. Son poste de capitaine de la garde lui prenait beaucoup de temps, et lui donnait aussi beaucoup de responsabilités, mais cela lui convenait comme ça. Phoebus avait envie d’être quelqu’un d’importance, d’avoir une certaine place dans la société, être reconnu de ses pairs. On pouvait l’affubler de prétentieux, de vaniteux, mais il était juste ambitieux. Il ne voulait pas se cantonner à peu de choses. Et il trouvait qu’il avait plutôt bien réussi pour le moment. Il avait l’argent, un nom, un poste de prestige, une fiancée, et de nombreuses amantes. Il ne se plaignait vraiment pas, c’était un fait. Mais il en voulait toujours plus, c’en était un autre également.

Et en ce moment, sa dernière envie, son dernier caprice, c’était Esmeralda. Ni plus, ni moins. Phoebus déambulait dans les rues de Paris, non sans arrière-pensée, il avait envie de trouver la belle Esmeralda. Il profitait qu’il n’ait pas besoin de travailler ce jour-ci pour rencontrer la jeune femme. Après tout, rien ne l’en empêchait. Son honneur peut-être, et ses engagements envers sa fiancée devraient le retenir, mais pourtant, ce n’était pas du tout le cas. Cela n’avait rien à voir à Fleur-de-Lys, mais la danseuse représentait une véritable tentation à laquelle Phoebus avait envie de céder, à ses risques et périls. Comme il l’avait prévu, la jeune femme dansait sur la grande place, devant Notre-Dame, comme à l’accoutumée. Il sourit et la regarda faire. C’était une attraction inévitable, elle avait quelque chose d’hypnotisant, de captivant, et il ne pouvait détourner ses yeux de ses mouvements gracieux et tentateurs. Elle savait se mouvoir avec beaucoup d’aisance, et il était toujours un véritable plaisir de la voir danser, d’ailleurs, il ne put s’empêcher de se faire la réflexion qu’elle était encore plus belle que dans son souvenir. Le garde s’éloigna quelque peu pour rejoindre les étales et acheter une rose. C’était le genre d’attention qui faisait toujours plaisir aux femmes non ? Une fois que la bohémienne eut fini de danser, il attendit un peu que la foule se disperse pour aller l’accoster. Un sourire sur les lèvres, il fit une légère révérence avant de lui tendre la rose.

« Elle ne reflète pas autant ta beauté qu’elle le devrait, mais je n’ai trouvé aucune autre rose qui pourrait l’égaler. »

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Regarder la belle Esmeralda était devenu un passe-temps pour Phoebus. Il adorait cela, et il ne se lassait pas. Comment le pourrait-il ? Elle était gracieuse, belle envoûtante… dès qu’il posait ses yeux sur elle, il ne pouvait plus s’en détourner, et il ne le voulait pas. Il n’était qu’agréable de pouvoir la regarder, tout chez elle éveillait l’envie, la luxure… Qu’elle en soit consciente ou non, c’était pourtant le cas. Aucune femme n’avait jamais autant mis en émoi le capitaine de la garde. Esmeralda n’était pas toutes les femmes, elle était unique, elle en relevait presque de la divinité. Et il comptait bien se l’approprier, qu’importe ses motivations et ses projets, qu’importe ses serments, Esmeralda serait sienne, et il ne la cèderait à personne d’autre. C’était peut-être malvenu de sa part, surtout qu’il était déjà engagé auprès d’une autre femme, mais c’était ainsi. Phoebus voulait Esmeralda pour lui seul, et même après qu’il aurait apposé sa marque sur elle, il ne laisserait aucun homme l’avoir. Et de cela, il n’avait aucun doute quant à la réussite de son projet. La jeune bohémienne était déjà sous son charme, il le savait, et cela lui plaisait.

Phoebus était habitué à plaire aux femmes et cela lui plaisait. Il en jouait, pas forcément pour que cela se finisse dans un lit, mais c’était toujours plaisant et agréable de plaire non ? Quoiqu’il en soit, il aimait voir ce qu’il voyait dans le regard de la danseuse. Il y voyait tout ce qu’il voudrait voir. Et bien plus encore. La femme était encore toute jeune, mais elle ne laissait personne insensible. Phoebus le premier. Et il ne comptait pas laisser tout cela de côté, il ferait tout pour la séduire encore plus, l’avoir en sa totale possession. Il ne doutait pas qu’il lui serait très facile de le faire. De toute façon, il ne se forçait pas à lui faire des compliments, il lui disait ce qu’il pensait, et il avait envie de la complimenter, il avait envie de la couvrir de présents. Sans qu’il ne sache vraiment pourquoi, mais c’était ce qu’il ressentait.

Il était sincère en tout cas, il ne cherchait pas à l’amadouer. Pourquoi le ferait-il ? Elle était magnifique, et aucune fleur ne pourrait égaler sa beauté. Mais il avait tout de même fait en sorte de trouver la plus belle des roses possibles, parce qu’elle le méritait. On pourrait le qualifier de beau parleur, ce qu’il était assurément, mais pas cette fois-ci, pas avec la belle Esmeralda. Il pensait chaque mot qu’il lui disait pour le moment. Et vu le regard qu’elle lui rendait, elle semblait être touchée par ses paroles, ce qui était une bonne chose.

« Merci… »

Il lui adressa un petit sourire. Il ne l’aurait pas cru si timide, mais soit. Surement était-elle un peu impressionnée par lui, ce qu’il pouvait comprendre. C’en était presque touchant. Il fouilla ensuite dans sa bourse et déposa quelques pièces d’or dans son chapeau, il fallait bien qu’elle vive, et sa prestation méritait très nettement une récompense pécuniaire.

« Et cela aussi, c’est pour toi. J’aime vraiment te voir danser, c’est un spectacle dont je ne me lasserai jamais. Même si je dois avouer, que je suis un peu jaloux que d’autres puissent l’admirer. J’aimerais que tu ne danses que pour moi, mais cela serait sans doute égoïste de ma part. »

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Phoebus savait que son numéro de charme était au point, il était facile pour lui de séduire les femmes, et il n’hésitait pas à le faire plus ou moins souvent, quand l’envie lui prenait. Mais pour Esmeralda, cette envie était bien plus forte que les autres. Il y avait quelque chose chez la jeune femme qui faisait naître en lui un sentiment de possessivité. Il voulait cette femme oui, mais il ne la voulait que pour lui. Concernant ses anciennes conquêtes, il se moquait éperdument du fait qu’elles aillent voir d’autres hommes, mais pour ce qui était d’Esmeralda, il n’avait aucune envie de partager la bohémienne.

Pour le moment, il voyait bien qu’il avait toute l’attention de la jeune femme, et c’était tant mieux. Ce qu’il arrivait à lire dans ses beaux yeux noirs le ravissait totalement. Quoi de mieux pour un homme que de lire tous ces sentiments dans les yeux d’une femme après tout ? Quoiqu’il en soit, il allait continuer de lui témoigner son intérêt qui était tout sauf forcé. Il espérait pouvoir rapidement passer à la vitesse supérieure avec la danseuse, mais il ne voulait pas non plus brûler les étapes trop vite, il ne voulait pas l’effrayer, ce serait totalement contreproductif. Pour le moment, il trouvait que les choses se passaient plutôt bien. Ils en étaient encore à la phase où ils s’appréhendaient, mais cela ne devrait certainement pas trop tarder à monter d’un cran. Après tout, ce n’était pas comme s’il avait besoin de séduire sa belle, vu qu’elle semblait déjà séduite, mais ce n’est pas pour autant qu’il fallait tout faire dans la précipitation. Il avait envie de savourer tous ces moments, et ceux à venir. Surtout qu’ils promettaient d’être délicieux. Pour le moment, Phoebus ne se lassait pas de détailler la jeune femme, qui était vraiment d’une beauté supérieure à la plupart des femmes. Elle avait quelque chose en plus qui la rendait totalement irrésistible, sans qu’elle n’ait besoin de faire quoi que ce soit.

« Je… je pourrais danser que pour vous, si vous voulez. »

Phoebus était assez surpris par la proposition de la jeune femme, mais elle ne se rendait sans doute pas compte de ce qu’elle disait. Quoique, vu la gêne qui semblait l’habiter en ce moment, ce n’était pas sûr. Phoebus n’avait pas envie qu’elle soit mal à l’aise en sa présence, au contraire, il voulait tout l’inverse. Qu’elle se sente bien, en sécurité, il y allait pourtant doucement sur la séduction, et il se doutait qu’elle devait susciter pas mal de réactions chez la gente masculine, alors elle devait être habituée aux compliments. M’enfin, ce n’était pas bien grave. Le fait qu’il retenait bien évidemment la proposition qu’elle venait de lui faire, et ne comptait pas l’oublier de sitôt.

Quoiqu’il en soit, le capitaine lui offrit un sourire doux et amusé à la fois. Il aimait l’entendre dire ce genre de choses, évidemment, mais encore fallait-il qu’elle prenne pleinement conscience du sens que pouvaient avoir ses paroles. Cela pourrait lui jouer des tours un jour ou l’autre.

« J’admets que l’idée d’une prestation privée n’est pas pour me déplaire. J’espère que tu ne proposes pas cela à tous les hommes qui le demandent cependant, avoir un traitement de faveur de ta part est quelque chose que j’apprécie beaucoup. »

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Phoebus était très loin de refuser une prestation privée. Même s’il se doutait que la jeune femme était totalement innocente dans sa proposition. Mais cela ne la rendait que plus désirable aux yeux du capitaine. Elle transpirait innocence et naïveté, et Phoebus n’avait qu’une envie, c’était de s’en emparer, et de la rendre moins chaste, et moins pure. Par pu égoïsme, et par envie. Il la voulait pour lui seul, et n’avait aucune envie de la partager. Il savait bien qu’il n’était probablement pas le seul à observer ses courbes gracieuses, Esmeralda était une femme magnifique, bien qu’encore jeune. Elle était entre la femme et l’enfant encore, et elle serait probablement un pur joyau, une fois totalement femme, mais Phoebus ne voulait pas attendre jusque-là. Pas pour commencer. Cette divine créature était bien trop tentante pour qu’il refreine ses ardeurs. Et puis, il ne voulait pas non plus prendre le risque de se faire doubler.

L’avantage qu’il avait, c’est que la belle gitane ne semblait pas insensible à ses charmes. Elle ne lui avait jamais dit, certes, mais il voyait bien comment elle réagissait. Et Phoebus avait de toute façon, l’habitude de plaire aux femmes, c’était comme ça. Il en profitait largement, mais avec Esmeralda, il voulait faire les choses bien, il voulait qu’elle ait confiance en lui. Non pas qu’il comptait la manipuler et l’abuser, mais elle n’était définitivement pas le genre de femme que l’on prenait à la sauvage dans une ruelle. Il voulait donc faire les choses bien. Pour le moment, il se disait que ce n’était pas trop mal. Evidemment, il allait attaquer doucement, faire de plus en plus de sous-entendus, jusqu’à être totalement équivoque, mais il ne voulait pas non plus la brusquer.

« Oh non, je ne fais pas ça. Si je danse, c’est pour pouvoir… me nourrir. »

Elle semblait gênée, mais au moins, il avait la confirmation qu’elle comprenait les sous-entendus. Pourtant, Phoebus se doutait qu’elle soit encore pure. Il n’avait aucune confirmation à ce sujet, mais cela se voyait dans sa manière de se comporter, mais il n’avait pas vraiment voulu sous-entendre qu’elle se comportait comme une fille de joie. C’était plus histoire de vouloir montrer qu’il ne comptait pas la partager, et qu’il voulait que ses faveurs ne s’adressent qu’à lui, et lui seul. Il lui adressa un nouveau sourire et s’autorisa à caresser sa joue du bout des doigts, d’un geste tendre.

« Bien entendu, je ne voulais pas insinuer que tu puisses être une femme de petite vertu. J’ai été maladroit dans mes propos. Je me doute, que tu n’es pas ce genre de personne. C’est juste que… je me sentirai jaloux, si tu accordais autant d’attention aux autres hommes que tu ne m’en portes. »

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Phoebus avait la sensation que c’était un bon moment pour tenter de séduire la jeune femme. Il savait déjà qu’elle était sous son charme, donc ce n’était pas très compliqué pour lui, mais il ne voulait pas que les choses en restent ici. Il voulait aller plus loin avec elle, et pouvoir devenir son amant. Naïve comme elle était, c’était à la fois une mission simple et compliquée. Elle croirait facilement ce qu’il lui dirait, mais il se doutait bien qu’elle devait être gênée, et timide en ce qui concernait les choses de l’amour.

La façon dont elle rougissait, et baissait le regard en disait long. Mais il trouvait cela attendrissant. La jeune femme était si pure, si innocente. Et pourtant, la nature lui avait donné des armes redoutables contre les hommes. Des armes qui pouvaient se retourner contre elle, soit dit en passant. Mais peu importe, Phoebus avait simplement envie que la gitane lui appartienne entièrement. D’autant qu’il savait que jamais aucun autre homme avant lui n’avait posé la main sur elle. Avoir l’exclusivité rendait la chose encore plus séduisante à ses yeux. Mais il n’y était pas encore, il devait faire comprendre à la jeune femme qu’elle l’intéressait, et il devait lui faire comprendre de la façon la plus douce possible, pour ne pas l’effrayer.

« Vous jaloux ? »

Phoebus sourit légèrement, de toute évidence, elle ne le croyait pas. Pourtant, Phoebus ne mentait pas. Il n’aurait pas aimé qu’elle s’intéresse à un autre homme. Il voulait être le seul qu’elle regarde, et le seul à la faire rougir et sourire. Par bonheur, c’était le cas. Et il voulait que les choses restent ainsi. Qu’il soit le seul à qui elle pense, constamment. En plus d’être un homme jaloux, Phoebus était possessif, et il n’aimait aucunement partager, et n’en avait pas l’intention.

« C’est… c’est parfaitement ridicule. »

Le capitaine voyait bien que quelque chose n’allait pas, et qu’elle était mal à l’aise. Pourtant, il ne pensait pas avoir fait ou dit quelque chose de particulièrement indécent. Pas encore. Il réservait cela à un autre moment, un autre endroit. Pour le moment, il se contentait d’être particulièrement chaste, tout en lui témoignant son intérêt. Mais Esmeralda était aussi pure qu’un agneau tout juste né, alors il n’en fallait sûrement pas beaucoup pour l’effrayer. En tout cas, il se doutait qu’il ne devait pas se montrer trop insistant, sinon, il pourrait lui faire peur pour de bon, et perdre toutes ses chances auprès d’elle.

« C’est peut-être ridicule, mais cela reste vrai. Mais… je vois bien que je te rends mal à l’aise, j’en suis désolé. Je ne voulais pas t’effrayer, je ne te ferai jamais de mal. Je peux te laisser si tu préfères. »

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Phoebus se disait qu’il serait bon de peut-être, se montrer moins entreprenant. La belle gitane était pure et innocente, et il n’avait en aucun cas envie de la faire fuir. Ce serait totalement contreproductif. Cependant, étant donné sa grande beauté, elle devait sans doute être courtisée par de nombreux hommes, il était donc important qu’elle connaisse son intérêt. Il était tout de même heureux que malgré son trouble et sa gêne, Esmeralda sembler lui porter un certain intérêt. Il ne demandait pas mieux. Mais il ne devait pas brûler les étapes, et n’écouter que son désir de la posséder toute entière. Il devait se montrer méthodique afin de ne pas gâcher ses chances. Mais il était difficile de résister lorsqu’il se retrouvait face à la belle gitane. Elle était une tentation à elle seule.

Mais bon, il se devait de contrôler ses ardeurs, c’était important. Pour le moment, il devait simplement apprendre à l’appréhender. Mais de ce qu’il se dégageait de leur entrevue depuis tout à l’heure, il avait le sentiment qu’elle avait besoin de douceur, et de temps. C’était dans ses cordes, pour elle, il était vraiment prêt à s’adapter. Mais chaque chose en son temps. Il lui avait demandé si elle préférait qu’il s’en aille, mais en son for intérieur, il espérait vraiment qu’elle allait lui répondre non. Il n’avait pas envie de la quitter si vite.

« N… Non. »

Phoebus afficha un léger sourire rassuré. Elle était peut-être gênée, mais pas au point que sa présence lui soit incommodante, et c’était le principal à retenir. Maintenant, il allait falloir trouver comment mettre la jeune femme à l’aise, et Phoebus ne pourra pas avoir de certitudes sans tenter une ou deux méthodes, en espérant que cela soit efficace.

« Je… je me rends compte que je n’ai jamais vraiment pris la peine de vous remercier pour ce que vous avez fait. Je… sans vous je ne sais pas où j’en serais, j’ai eu… tellement de chance. »

Il aurait été dommage que cette créature fasse du mal à une aussi belle femme qu’Esmeralda. Phoebus avait été au bon endroit, au bon moment. Et il ne regrettait absolument pas. Il lui adressa un nouveau sourire, avant de glisser ses doigts sur sa joue, la frôlant quasiment, pour ne pas l’effrayer. Il ne lui voulait aucun mal après tout, et elle n’avait vraiment pas de quoi être gênée.

« Je t’en prie, je suis heureux d’avoir pu être là pour toi. Et je le referai sans hésiter. » Il la toisa du regard avant de lui tendre la main. « Viens avec moi, je t’emmène quelque part. Pas loin c’est promis. »

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