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 On ne se prépare pas plus à la mort qu’on ne s’était préparé à vivre. (Courfeyrac)

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On ne se prépare pas plus à la mort qu’on ne s’était préparé à vivre. (Courfeyrac) Abc10
Guillaume Grantaire
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Message#Sujet: On ne se prépare pas plus à la mort qu’on ne s’était préparé à vivre. (Courfeyrac)   On ne se prépare pas plus à la mort qu’on ne s’était préparé à vivre. (Courfeyrac) I_icon_minitimeVen 12 Avr - 15:37

On ne se prépare pas plus à la mort qu’on ne s’était préparé à vivre.
Grantaire voyait bien que les choses commençaient quand même à bien s’intensifier, il y avait des rumeurs, Lamarque état malade et ça signifiait quand même qu’il était tant qu’ils se préparent sans doute. Du moins, c’était ce que Enjolras répétait à chaque fois qu’il mettait les pieds dans le café Musain. Grantaire le sentait oui, les choses étaient sur le point de s’accélérer. Et il n’avait pas tort, même s’il considérait qu’il n’avait pas souvent tort quand même, il ne fallait exagérer, parce que bientôt ils allaient mettre en place la révolution. Mais ce n’était pas encore le moment, ce n’était pas encore l’instant concret. Pour l’heure, ils se préparaient. Enfin, « ils » ce n’était pas réellement le mot qu’il était possible d’utiliser. Enfin si, en un sens c’était le cas, parce qu’ils étaient plusieurs à se préparer. Alors que Grantaire de son côté, il ne se préparait pas réellement.

Du moins, il ne faisait rien de plus que ce qu’il faisait d’ordinaire, il se pointait au café Musain dans le but de passer le temps, d’écouter Enjolras parler, de boire du vin. Globalement, il n’avait pas grand-chose d’autre à faire. Enfin, si, bien évidemment, le jeune homme avait beaucoup de chose à faire s’il voulait réellement aider les Amis de l’A B C, mais en même temps il n’avait aucune envie de faire quoi que ce soit. Il venait de rentrer dans le café d’ailleurs, il ne manqua pas d’adresser quelques mots à Louison avant de se diriger vers l’arrière salle dans le but de retrouver les camarades des Amis de l’A B C. Il avait une bouteille de vin dans la main et il avait déjà quelques… verres/bouteilles il ne savait plus réellement dans l’estomac. Il n’avait pas réellement dessoulé de la journée. D’ailleurs, en réalité, il ne savait plus depuis combien de temps il était bourré. Il ne pouvait pas réellement dire qu’il était bourré non plus, au point où il en était, au vu de la manière dont il buvait à longueur de temps, il n’était plus réellement à ce stade. C’était complexe, sans surprise.

Il fit quelque pas dans l’arrière salle, visiblement Enjolras avait terminé son discourt habituel et ils étaient tous en train de parler ici et là. Grantaire observa l’assemblé, visiblement il n’y avait pas Pontmercy, sans que le jeune homme ne soit réellement étonné. Au vu de la situation, il se disait même qu’il fallait arrêter de compter sur lui, ce n’était plus possible, parce qu’il n’était plus fiable du tout. Le jeune homme marcha un peu dans la salle, tournant la tête ici et là, saluant ici et là certaines personnes. Et à un moment donné, sans faire exprès, il percuta une personne.

« Oh Courfeyrac ! » Lança-t-il avant de passer son bras autour des épaules de son ami. « Comment tu vas aujourd’hui ? » Demanda-t-il, un large sourire sur le visage, d’une voix forte. Parce qu’il n’avait aucune raison de se retenir.
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Basil Courfeyrac
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Message#Sujet: Re: On ne se prépare pas plus à la mort qu’on ne s’était préparé à vivre. (Courfeyrac)   On ne se prépare pas plus à la mort qu’on ne s’était préparé à vivre. (Courfeyrac) I_icon_minitimeMar 7 Mai - 9:38

On ne se prépare pas plus à la mort qu’on ne s’était préparé à vivre
But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Voilà une nouvelle journée terminée. Et celle-ci fut bien remplie pour Courfeyrac. Il serait peut-être exagéré de prétendre que Basil était un homme débordé, mais il ne s’ennuyait pas en tout cas. Il trouvait toujours quelque chose d’utile à faire, et c’était tant mieux. Il n’était pas un homme qui appréciait la paresse et l’inactivité, bien au contraire. Il aimait faire bouger les choses, que ce soit pour sa vie personnelle ou d’une manière plus générale. Après tout, ils ne chômaient pas avec les amis de l’ABC, et les choses allaient bientôt prendre un nouveau tournant, il le savait, ils le savaient tous, enfin, Courfeyrac espérait qu’ils étaient tous conscients de la réalité des choses. Il ne pouvait pas en être sûr, il n’avait pas discuté personnellement de cela avec chacun des membres, mais ils étaient assez clairs en tout cas, surtout Enjolras qui était le principal porte-parole.

Et encore une fois, il sut trouver les mots pour captiver l’attention. Enjolras avait toujours été doué pour prendre la parole, pour faire des discours, Basil n’était donc pas vraiment étonné qu’il sache aussi bien tenir un auditoire. Surtout que ce qu’il disait ne pouvait être plus vrai. Ils étaient tous d’accord avec le fait que les choses devaient changer, que le peuple devait se libérer du poids que faisait peser les autorités et le gouvernement sur ses épaules. Un poids beaucoup trop lourd, beaucoup trop important, et bien trop injuste. L’injustice était présente à chaque coin de rue, et ce n’était pas la peine de bien observer pour la voir, elle sautait aux yeux. Certains était bien trop égoïstes pour le remarquer, d’autres s’en moquaient totalement, et Basil avait du mal à croire qu’une certaine catégorie d’hommes et de femmes, pouvaient être aussi sourds et aveugles aux souffrances de leurs semblables. Ils étaient censés être tous égaux, mais rien de tout cela n’était reflété dans leur société actuelle. Il y avait toujours des castes et des fossés. Des riches et des pauvres. Et il était temps de se révolter contre tout cela, encore une fois. Le peuple avait le pouvoir de changer les choses, cela s’était déjà vu par le passé.

La réunion était terminée à présent, mais Courfeyrac était resté un peu plus longtemps pour discuter un peu avec des amis qu’il connaissait, ou bien au contraire, certains garçons qu’il découvrait. Il était toujours enclin à avoir une discussion constructive et agréable avec qui que ce soit. Ou bien tout simplement bavarder avec des connaissances, sans forcément aborder de sujet trop sérieux. Il ne fallait pas tout le temps l’être, Courfeyrac en était convaincu. Certains l’étaient trop, comme Enjolras, mais d’autres ne l’étaient pas assez, comme… eh bien Grantaire justement, qui venait tout juste de l’accoster.

« Oh Courfeyrac ! Comment tu vas aujourd’hui ? »

Le dénommé Courfeyrac se laissa prendre par les épaules, il avait l’habitude avec Grantaire. D’ailleurs, ce dernier semblait avoir bien entamé sa consommation d’alcool quotidienne. Il ne se souvenait même pas de s’il l’avait déjà vu sobre, mais bon, heureusement pour tout le monde, Grantaire avait l’alcool joyeux, et il était un très bon compagnon. Il lui adressa un sourire.

« Je vais bien merci. Et toi mon ami ? Tu me sembles déjà bien guilleret, tu en es à combien de bouteilles ? »

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Message#Sujet: Re: On ne se prépare pas plus à la mort qu’on ne s’était préparé à vivre. (Courfeyrac)   On ne se prépare pas plus à la mort qu’on ne s’était préparé à vivre. (Courfeyrac) I_icon_minitimeJeu 15 Aoû - 11:25

On ne se prépare pas plus à la mort qu’on ne s’était préparé à vivre.
Grantaire n’était clairement pas le dernier joyeux de la bande, bien au contraire. Ce n’était pas son genre après tout d’être triste, même dans les situations les plus complexes. Et en cet instant précis, le jeune homme n’avait de toute façon aucune raison de ne pas être joyeux. Bon, la situation était peut-être un peu tendue, ils se préparaient quand même à mener une révolution, mais ce n’était rien du tout. Vraiment, aux yeux de Grantaire, ce n’était pas grand-chose et dans tous les cas, il avait beaucoup trop bu pour se préoccuper de quoi que ce soit.

Grantaire afficha un large sourire quand Courfeyrac affirma qu’il allait bien. Forcément, le jeune homme était content d’apprendre que son ami allait bien. Il ne lui voulait que du bien après tout, il n’avait aucune raison de vouloir qu’il n’aille pas bien. Le jeune homme lui retourna la question, avant de répondre presque de lui-même à la question, puisqu’il mentionna le fait qu’il était déjà bien guilleret, et de lui demander à combien de bouteille il était.

« Oh, tu sais très bien mon ami que je ne compte pas vraiment ! » En même temps, si Grantaire devait compter à chaque fois qu’il buvait une bouteille de vin, ou d’autre alcool, il était évident qu’il en aurait le tournis. C’était à peine s’il dessoulait en réalité, quand il dormait il ne buvait pas, mais une fois réveillé (encore forcément touché par tout l’alcool qu’il avait bu la veille), il ne tardait pas à reprendre le rythme. Donc, non, il ne comptait jamais. « Mais l’alcool n’a rien à voir là-dedans tu le sais ? » Bon, si en un sens c’était le cas, mais en même temps ce n’était pas forcément le moment d’avoir ce genre de débat. « Je suis juste heureux de pouvoir passer du temps avec mon grand ami. »

Et l’alcool l’aidait quand même grandement à trouver tout le monde comme ses grands amis. Cela dit, Courfeyrac était l’une des personnes qu’il appréciait sincèrement, même si ce dernier ne manque pas une occasion de le chambrer gentiment comme il était déjà en train de faire. Ça n’enlevait pas le fait qu’il l’appréciait sincèrement, bien plus que la plupart des personnes présentes dans cet arrière salle. Pas comme Pontmercy par exemple. Cela dit, Courfeyrac n’arrivait pas non plus à la hauteur de Enjolras, mais ça c’était encore un autre débat. Dans tous les cas, Grantaire appréciait sincèrement de pouvoir passer du temps en sa compagnie.

« Bon alors cette réunion ? Ça a donné quoi ? Notre chef a bien parlé ce soir ? »
Non parce qu’il avait quand même un peu loupé tout ce qui s’était dit ce soir, mais Grantaire se disait que ça n’avait pas dû être bien différent des discours qu’il prononçait d’habitude.
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Message#Sujet: Re: On ne se prépare pas plus à la mort qu’on ne s’était préparé à vivre. (Courfeyrac)   On ne se prépare pas plus à la mort qu’on ne s’était préparé à vivre. (Courfeyrac) I_icon_minitimeSam 12 Oct - 13:50

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But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Courfeyrac était plutôt content de croiser Grantaire. Il faut dire que le jeune homme était ce que l’on pouvait aisément appeler un joyeux luron. Toujours de bonne humeur, toujours le sourire aux lèvres, et souvent la bouteille à la main, certes, mais si Grantaire était heureux ainsi, pourquoi l’en empêcher ? S’il était souvent soul, du moins Courfeyrac le pensait, il restait cependant agréable et disponible. Il savait tenir une conversation, il n’était pas violent, on ne pouvait pas lui reprocher son comportement, alors ce n’était pas un véritable problème qu’il ait une consommation assez importante d’alcool.

Enfin, quoiqu’il en soit, Grantaire était un compagnon agréable, manquant parfois un peu de sérieux, mais au moins, il n’y avait pas mieux pour se divertir, ou voir son moral remonter en flèche. Basil ne se sentait pas démoraliser, ou triste, mais passer du temps avec son ami était toujours une bonne chose. Il n’avait pas besoin de raison pour cela. Et puis, étant donné qu’il n’avait plus rien à faire à présent, autant passer son temps avec le jeune homme.

« Oh, tu sais très bien mon ami que je ne compte pas vraiment ! »

Oui, évidemment il le savait bien. Grantaire buvait sans compter, simplement pour le plaisir de boire, c’est ce que Courfeyrac présumait. Il ne portait pas de jugement sur son ami cependant. Basil n’était pas un gros consommateur d’alcool. Il buvait comme ça, occasionnellement, un verre ou deux, mais c’est tout. Il n’était jamais dans l’excès et n’avait pas envie de l’être. Il préférait rester sobre, maître de lui-même, de ses paroles et de ses actes, pour ne pas faire ou dire ce qu’il pourrait regretter par la suite. Ce serait bien dommage.

« Mais l’alcool n’a rien à voir là-dedans tu le sais ? Je suis juste heureux de pouvoir passer du temps avec mon grand ami. »

Il lui adressa un sourire, il voulait bien le croire, même si cela n’enlevait rien au fait que l’alcool rendait Grantaire joyeux et guilleret. Il n’avait jamais vu Grantaire totalement sobre cela dit, mais c’était tout de même ce qu’il en avait déduit. Il était tout de même content de savoir qu’il était un grand ami pour Grantaire. Le jeune homme exagérait peut-être un peu les choses, mais il n’empêche que de son côté, Courfeyrac considérait vraiment Grantaire comme un bon ami. Manquant certes parfois un peu de sérieux, mais il était toujours agréable de passer un moment avec lui, il savait comment rire et s’amuser au moins, ce qui pouvait sembler rare dans ce monde.

« Bon alors cette réunion ? Ça a donné quoi ? Notre chef a bien parlé ce soir ? »

Courfeyrac haussa un sourcil, même s’il n’était pas vraiment surpris que le jeune révolutionnaire n’ait pas vraiment porté attention à ce qu’il se disait. C’était Grantaire, parfois il était attentif, parfois non, c’était comme ça. Ça ne gênait pas vraiment Basil, mais il savait que cela pouvait parfois en agacer d’autres. Ce n’était pas son cas, même s’il ne le revendiquait pas forcément, c’était quelque chose à laquelle il fallait être habitué lorsque l’on côtoyait Grantaire.

« Oui, comme toujours. Enjolras est toujours très inspiré. Mais de toute évidence, tu as préféré te distraire avec d’autres sujets. J’espère que tu as tout de même passé un bon moment. »

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Message#Sujet: Re: On ne se prépare pas plus à la mort qu’on ne s’était préparé à vivre. (Courfeyrac)   On ne se prépare pas plus à la mort qu’on ne s’était préparé à vivre. (Courfeyrac) I_icon_minitimeMar 18 Fév - 17:07

On ne se prépare pas plus à la mort qu’on ne s’était préparé à vivre.
Grantaire n'avait pas suivi grand chose de la réunion non, en même temps à force de faire des aller retour dans le but d'aller réclamer du vin à la belle Louison, il ne risquait pas de suivre comme il faut la réunion. Et en un sens, ce n'était pas si grave sud ça non plus, parce le jeune homme savait bien qu'on ne lui demandait pas vraiment de suivre, qu'on attendait même rien de lui. Grantaire pouvait être vexé de cette situation, mais il en fallait beaucoup plus pour qu'il le soit. Il savait qu'ils ne comptaient pas sur lui, mais il ne faisait pas grand chose pour qu'ils le fassent non plus. S'il buvait moins pendant les réunions, ou qu'il buvait moins tout court, sans doute que ses camarades lui feraient plus confiance. Mais en même temps, la vie serait quand même beaucoup moins belle s'il buvait moins, il ne fallait pas déconner.

Le jeune homme afficha un sourire amusé en entendant son ami affirmer que Enjolras avait été inspiré comme toujours. Ah ça. C'était évident sur le jeune homme l'était et il avait tout intérêt à l'être s'il avait envie que leur groupe avance. Grantaire misait peut être trop sur l'homme aux belles boucles blondes, mais il considérait que sans ce dernier, les Amis de L'ABC ne seraient pas à ce point.

« Je passe toujours un bon moment tu sais. »
Répondit-il à la remarque de son ami, sans perdre son sourire. Il aimait bien le fait qu'on ne lui reproche pas de boire et de ne pas tout suivre. Grantaire savait bien que sa présence n'était pas désirée par tout le monde et que beaucoup remettait en doute sa motivation. Ce qu'ils avaient raison de faire d'ailleurs, parce que le jeune homme lui même n'était pas sûr d'être bien motivé. Cela dit il allait s'avérait qu'il allait être présent quand il le fallait. « Vous entendre brailler en buvant du bon vin, c'est la meilleure distraction possible. »

Ce n'était pas forcément très respectueux pour ce que faisait ses camarades dans l'arrière salle du café, mais Grantaire disait les choses telles qu'il les pensait. Et c'était le cas. Il adorait le spectacle, par moment il avait même l'impression d'être à l'opéra quand Pontmercy venait mettre son grain de sel avec son fantôme. S'il n'aimait pas ce qui vivait dans ces réunions, le jeune homme ne s'embêterait pas à venir constamment ici. Il n'en donnait peut être pas l'air, mais Grantaire n'aimait pas spécialement perdre son temps. Il pourrait passer du temps avec une belle donzelle à la place de ces réunions, alors il fallait quand même que ça en vaille la peine. Et c'était le cas en grande partie grâce au vin d'ailleurs.
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Message#Sujet: Re: On ne se prépare pas plus à la mort qu’on ne s’était préparé à vivre. (Courfeyrac)   On ne se prépare pas plus à la mort qu’on ne s’était préparé à vivre. (Courfeyrac) I_icon_minitimeSam 14 Mar - 13:56

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Le comportement que pouvait avoir Grantaire ne surprenait plus Courfeyrac, et à dire vrai, cela ne l’agaçait pas non plus. Il l’amusait, tout simplement. Parce que Grantaire sans l’alcool, sans sa nonchalance, ce n’était pas Grantaire, tout simplement. Il avait appris à l’apprécier comme ça, alors il ne voyait pas pourquoi il voudrait le changer. De toute façon, Courfeyrac n’était pas son frère, ou son père, alors il n’avait rien à lui dire. D’autant plus, que s’il montrait ce côté où il donnait l’air de se ficher de tout, Courfeyrac restait convaincu que Grantaire était vraiment concerné par leur cause. Du moins, il l’espérait. Il serait dommage de prendre des risques, dans quelque chose à laquelle il ne croyait pas vraiment, mais bon, il lui faisait confiance pour prendre les bonnes décisions.

Même si en toute objectivité, faire confiance à Grantaire pour prendre les bonnes décisions, était presque contradictoire, étant donné que le jeune homme était soul presque tout le temps. Mais bon. Justement, il avait dû s’habituer à boire trop tout le temps, et il arrivait probablement à être plus ou moins lucide ? Courfeyrac n’en savait trop rien, mais pour l’heure, il n’avait aucune envie de tenter d’analyser son ami. Il était trop tard pour ce genre de choses, et Courfeyrac préférait largement discuter avec lui.

« Je passe toujours un bon moment tu sais. »

Il sourit doucement en coin. Il n’en doutait pas. Il n’en fallait pas beaucoup pour que Grantaire passe un bon moment. De l’alcool, et il était heureux. Au moins, il n’était pas bien difficile. Mais aux yeux de Courfeyrac, son ami ne se résumait bien évidemment, pas qu’à cela. Grantaire était un jeune homme avec qui l’étudiant aimait bien discuter. Il était un ami à lui, un très bon ami, alors il était toujours agréable de passer un moment avec lui.

« Vous entendre brailler en buvant du bon vin, c'est la meilleure distraction possible. »

Courfeyrac ria légèrement. C’était une réflexion qui ne l’étonnait pas du tout de Grantaire. Au contraire, c’était du Grantaire tout craché. Il était au moins content de savoir qu’il avait passé un bon moment en les écoutant. Ce n’était pas forcément le but de leurs réunions, de se distraire, mais bon, s’énerver contre lui ne servirait strictement à rien. Et il n’avait pas non plus envie de s’énerver, d’une manière générale. Courfeyrac n’était pas quelqu’un qui s’énervait, dans tous les cas, ce n’était pas dans son caractère. Il préférait parler normalement, et régler les éventuels conflits par la parole. Quand c’était possible bien sûr.

« Brailler vraiment ? Je te trouve un peu dur, mais il est vrai qu’ne général, on ne parle pas à voix basse, mais bon, il faut ce qu’il faut, tu ne crois pas ? En tout cas, j’espère que tu n’as pas tout bu, je ne dirai pas non à une petite coupe. »

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Message#Sujet: Re: On ne se prépare pas plus à la mort qu’on ne s’était préparé à vivre. (Courfeyrac)   On ne se prépare pas plus à la mort qu’on ne s’était préparé à vivre. (Courfeyrac) I_icon_minitimeDim 2 Aoû - 21:49

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Bien sûr que si ils braillaient, c’était ce qu’ils faisaient dans cette arrière salle du café, mais en même temps c’était quelque chose qu’ils faisaient bien. En tout cas, Grantaire n’avait aucune envie de voir les choses différemment, il aimait l’idée qu’ils braillent parce que ça l’amuser de s’installer là et de les écouter. Ça l’amusait aussi d’en rajouter parfois quelques couches, histoire de mettre un peu de piment dans cette conversation. Courfeyrac confirma le fait qu’ils n’avaient pas vraiment l’habitude de parler à voix basse, ce qui était quand même la moindre des choses.

« Peut-être bien. » Répondit-il quand son ami précisa qu’il fallait ce qu’il fallait.

Il n’était quand même pas si sûr que cela que tout ça, tout ce bruit allait réellement les mener quelque part. Grantaire ne pouvait pas nier le fait qu’il s’amusait grandement et qu’il n’avait globalement rien de mieux à faire (en plus de profiter de la présence assez agréable d’une certaine personne aux boucles blondes). Mais au fond, il n’était quand même pas sûr et certain que ça allait les mener quelque part. En dehors de de la possibilité de pouvoir boire beaucoup d’alcool. Et en parlant de ça, son ami ne manqua pas de lui demander s’il n’avait pas trop but, parce qu’il ne serait pas contre une petite coupe.

« Oh, mon ami, tu sais bien que je n’ai jamais assez bu. » Dit-il en venant passer son bras autour des épaules de Courfeyrac. « Et je ne peux évidemment pas te laisser boire une petite coupe tout seul. Quelle serait donc cette vie si tu te retrouvais à boire seul ? Je ne peux le permettre. Alors, je vais t’accompagner bien sûr. » Il marqua une pause. « Mais rappel toi que je ne fais ça que pur toi, parce que je ne peux pas te laisser seul. » Une nouvelle pause. « Par contre, mes… poches sont vides. Tu seras généreux avec moi n’est-ce que Courfeyrac ? Pour tout ce que je fais pour toi, tu me paieras bien quelques coupes pour t’accompagner ? »

Si ce n’était pas le cas, Grantaire allait sans doute se contenter d’aller faire les yeux doux à la belle Louison pour qu’elle accepte de lui servir à l’œil. Mais il aimerait bien que son ami prenne vraiment la peine de lui faire l’avance. Enfin, de lui faire se généreux cadeau tout simplement. Il n’y avait pas de raison quand même qu’il refuse non ? Il avait besoin d’un camarade de boisson, il était là pour lui.
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Message#Sujet: Re: On ne se prépare pas plus à la mort qu’on ne s’était préparé à vivre. (Courfeyrac)   On ne se prépare pas plus à la mort qu’on ne s’était préparé à vivre. (Courfeyrac) I_icon_minitimeDim 27 Sep - 18:40

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Courfeyrac ne savait jamais vraiment comment se comporter avec Grantaire. Non pas qu’il n’appréciait pas le jeune homme, il le considérait comme un de ses amis, bien entendu, mais Grantaire avec une personnalité à part, et il n’était pas toujours évident de savoir comment s’y prendre avec ce dernier. Il était surtout difficile de savoir si le jeune homme était sérieux ou non, ce qui était appuyé par le fait qu’il était souvent soul, il fallait bien le dire. Mais ça n’enlevait rien au fait que Grantaire était tout de même un bon gars, et un bon vivant d’une manière générale.

« Peut-être bien. »

Grantaire ne semblait pas plus convaincu que ça, mais ça ne surprenait pas vraiment Basil. C’était du Grantaire tout craché. Il n’avait jamais brandi les couleurs de la rébellion avec véhémence. Grantaire assistait à leurs réunions oui, mais il buvait et plaisantait avec tout le monde, c’était surtout ça. Basil ne critiquait pas son mode de vie, ni le fait que son esprit de révolutionnaire s’arrête à la bouteille, mais parfois, il ne serait pas forcément déplaisant que Grantaire soit un peu plus investi dans leur cause. Même si au final, ils ne forçaient absolument personne.

« Oh, mon ami, tu sais bien que je n’ai jamais assez bu. Et je ne peux évidemment pas te laisser boire une petite coupe tout seul. Quelle serait donc cette vie si tu te retrouvais à boire seul ? Je ne peux le permettre. Alors, je vais t’accompagner bien sûr. Mais rappel toi que je ne fais ça que pur toi, parce que je ne peux pas te laisser seul. Par contre, mes… poches sont vides. Tu seras généreux avec moi n’est-ce que Courfeyrac ? Pour tout ce que je fais pour toi, tu me paieras bien quelques coupes pour t’accompagner ? »

Là encore, il n’était pas le moins du monde surpris par la tirade de son ami. Dès qu’on proposait à Grantaire de boire, il était toujours partant. Mais bien souvent, il fallait l’inviter, parce qu’il avait déjà dilapidé tout ce qu’il avait sur lui. Basil ne savait pas comment il pouvait vivre de cette manière, mais de toute évidence, cela lui convenait, alors c’était une bonne chose pour lui. Quoiqu’il en soit, il n’était évidemment pas contre l’idée de boire un coup avec le jeune homme, au contraire, sa compagnie était toujours la bienvenue, puisque Grantaire était toujours d’excellente humeur.

« Tu sais bien que je ne peux rien te refuser. Toi qui veille tellement à mon bien-être, au détriment de ta propre personne. Je suis sincèrement touché par ta sollicitude, tellement que je peux bien dépenser quelques sous pour te donner le sourire. »

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Message#Sujet: Re: On ne se prépare pas plus à la mort qu’on ne s’était préparé à vivre. (Courfeyrac)   On ne se prépare pas plus à la mort qu’on ne s’était préparé à vivre. (Courfeyrac) I_icon_minitimeSam 24 Avr - 14:17

On ne se prépare pas plus à la mort qu’on ne s’était préparé à vivre.
Grantaire accompagnait volontiers n’importe lequel de ses amis dans la boisson. Il n’avait besoin de personne pour boire dans tous les cas, mais c’était évident qu’il préférait quand même largement quand il pouvait boire en compagnie d’autres personnes donc… Courfeyrac pouvait compter sur lui pour boire une coupe en sa compagnie. Mais comme bien souvent, ce n’était pas avec ses poches vides qu’il allait pouvoir aller bien loin. Il pouvait essayer de grapiller une ou deux bouteilles à la belle Louison, mais elle finissait au bout d’un moment par en avoir assez de lui alors… il espérait bien que son très cher camarade allait se montrer généreux.

Le jeune homme afficha un sourire en entendant Courfeyrac affirmer qu’il ne pouvait rien lui refuser. Ah, comme ça partait bien donc. Et comme il ne manqua pas de le préciser, argument que Grantaire avait lui-même avancé précédemment, il veillait après tout à sa personne au détriment de la sienne propre alors… il lui valait bien ça.

« Oh comme tu es un ami toi ! » Dit-il en posant ses deux mains sur les épaules de Courfeyrac, pour le remercier de son geste. Il était évident qu’ils allaient passer une bonne soirée tous les deux, puisqu’ils allaient boire ensemble et qu’en prime, Grantaire n’allait pas avoir besoin de se retenir faute de quoi payer. C’était juste parfait. Que demander de plus ? Franchement, Grantaire ne voyait pas… à la limite, il trouverait bien un lit douillet ensuite accompagné d’une belle femme pour dormir ensuite, mais ce n’était pas encore à l’ordre du jour. « Je te laisse aller chercher nos coupes alors. Mais ne dis pas à la belle Louison que tu me paie ma tourner. Elle ne comprendrait pas que je me sacrifie à ce point pour toi. »

Et il n’était pas impossible que le jeune homme ait affirmé à la belle serveuse qu’il n’allait pas boire plus. Pourquoi ? Il n’en savait rien en prime, mais des fois elle lui demandait des choses et lui le faisait. Pour l’heure, il avait l’intention de juste boire avec son ami, de profiter d’une belle soirée, d’une belle nuit, sans penser à rien et se concentrant uniquement sur… eh bien sur son bienêtre. Il considérait que c’était déjà beaucoup, s’il ne le faisait pas… qui le ferait hein ? Qui serait capable de se concentrer sur son bien être à lui ? Pas grand monde pensait-il.
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Message#Sujet: Re: On ne se prépare pas plus à la mort qu’on ne s’était préparé à vivre. (Courfeyrac)   On ne se prépare pas plus à la mort qu’on ne s’était préparé à vivre. (Courfeyrac) I_icon_minitimeMer 20 Oct - 15:11

On ne se prépare pas plus à la mort qu’on ne s’était préparé à vivre
But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Que serait Grantaire sans la boisson ? C’était une sérieuse question, mais Courfeyrac n’en savait strictement rien. D’aussi loin qu’il se souvenait, il avait toujours vu son ami avec un verre, une choppe, une bouteille à la main. Pourtant, Grantaire était toujours lucide, et avait toujours des propos cohérents. Certes, Courfeyrac ne recommandait à personne d’en faire de même, d’un point de vue santé ce n’était pas le mieux, mais Grantaire semblait bien, alors il n’y avait pas de raison de l’empêcher de continuer à boire s’il en avait envie. Il restait tout à fait charmant, et ne causait de tort à personne.

« Oh comme tu es un ami toi ! »

Il n’en fallait pas beaucoup à Grantaire, pour qu’il considère quelqu’un comme un ami. Il suffisait de lui payer un verre, mais au moins, il n’était pas contrariant, et ce n’était pas compliqué de devenir son ami du coup. Enfin, c’était surtout vu comme une taquinerie, ce genre de pensées. Il ne voyait pas le jeune homme que comme quelqu’un qui passait son temps à boire. Grantaire était plus profond que cela, ne serait-ce que de par son engagement au sein des amis de l’ABC. Pour Courfeyrac, même s’il était excentrique et avait un trop grand amour pour la bouteille, c’était vraiment quelqu’un de bien.

« Je te laisse aller chercher nos coupes alors. Mais ne dis pas à la belle Louison que tu me paie ma tourner. Elle ne comprendrait pas que je me sacrifie à ce point pour toi. »

Oui, c’est vrai. En dehors de la boisson, Grantaire avait aussi un grand amour pour la gente féminine. Il ne le lui reprochait pas, il est vrai que les femmes pouvaient se montrer for agréable, bien que Basil n’ait quasiment pas d’expérience en la matière. Enfin bref. Avec un sourire, il se leva avant de se diriger vers le bar pour commander à boire, puis rejoignit son ami avec les boissons. Dans l’optique de passer un moment agréable en compagnie d’un très bon ami.

« Et voilà. Et ne crains rien, je n’ai rien dit à Louison. Je m’en voudrai beaucoup de mettre à mal tes tactiques de séduction. »

black pumpkin
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