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 Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail | Jehan & Pheobus

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Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail | Jehan & Pheobus Justic10
Phoebus de Châteaupers
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Message#Sujet: Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail | Jehan & Pheobus   Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail | Jehan & Pheobus I_icon_minitimeMar 19 Fév - 18:21

Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail
But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Une journée de terminée, et Phoebus n’en était pas mécontent, loin de là. Surtout que pour une fois, il pouvait rentrer pas trop tard. Mais il hésitait à directement rentrer chez lui, ou à aller boire un verre pour se détendre. Il pourrait peut-être en profiter pour voir Fleur-de-Lys et passer un peu de temps avec sa fiancée, mais il valait mieux la prévenir en avance plutôt que de débarquer à l’improviste, alors il verrait cela pour une autre fois. De toute façon, il l’avait vue il n’y avait pas si longtemps, et ils n’étaient pas forcés de rester tout le temps collés l’un à l’autre, surtout qu’ils se verraient tous les jours une fois mariés, alors mieux valait qu’ils profitent encore un peu de la liberté dont ils pouvaient se réjouir. Du moins c’était son cas à lui, quand bien même il avait de la tendresse pour la jeune femme.

Quoiqu’il en soit, il avait envie de profiter de sa soirée. Aller retrouver Esmeralda pour espérer qu’ils deviennent plus proches était une option très alléchante, mais il ne savait pas où elle se trouvait et il se doutait que s’il se mettait à la chercher, il pourrait y passer la nuit, alors cela attendrait une autre fois. Quand bien même revoir la bohémienne était une envie pressante et délicieuse dans l’esprit du jeune homme. Il pensait beaucoup à elle, et à ses courbes, et il avait vraiment hâte qu’ils soient intimes. Cela ne saurait pas vraiment tarder, étant donné que la danseuse était déjà sous son charme, mais mieux valait ne pas aller trop vite non plus.

Phoebus réfléchissait tout en marchant. Les rues étaient encore fréquentées à cette heure, même si chacun regagnait peu à peu son domicile. Phoebus saluait de la tête, ou d’un sourire quelques passants. En tant que capitaine de la garde, et jeune homme de bonne famille, on le reconnaissait aisément, et c’était un constat que le soldat appréciait avoir. C’est ce qu’il cherchait après tout, la reconnaissance, la gloire, le succès, la richesse… Et il trouvait qu’il s’en sortait très bien, et qu’il s’approchait de son but de plus en plus. Cela le ravissait. Plus loin, il aperçut un jeune homme qu’il connaissait bien, et avec qui il appréciait partager quelques soirées, autour d’un verre.

Il se décida à traverser la voie pour se retrouver sur la chaussée d’en face et s’approcha de son ami, Jehan Frollo. Frère de l’archidiacre mais qui ne lui ressemblait en rien. S’il lui ressemblait, il était certain que Phoebus n’aurait pas autant apprécié sa compagnie.

« Jehan, cela faisait un moment que je ne t’avais pas vu. »

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Message#Sujet: Re: Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail | Jehan & Pheobus   Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail | Jehan & Pheobus I_icon_minitimeJeu 9 Mai - 16:05

Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail.
Jehan avait fait ses comptes et on ne pouvait pas dire que c’était vraiment glorieux. Parce que clairement, il avait encore un peu d’argent, mais ce n’était pas dingue, il ne savait pas exactement comment il allait faire pour terminer le mois. Il ne savait pas comment il allait faire pour décaler un peu encore le moment où il allait devoir retourner voir son frère afin de lui demander de l’argent. Non pas que ça soit quelque chose qui l’arrête non plus, si c’était le cas il n’aurait vraiment jamais d’argent. Alors, il irait bel et bien trouver son ainé afin de réclamer son argent afin de pouvoir manger et boire à sa guise, mais pour le moment il avait quand même envie d’attendre le plus possible. Il n’avait pas envie d’y aller tout de suite.

Pour l’heure, le jeune homme marchait donc dans la rue, en fin de journée, se disant qu’il faudrait quand même qu’il trouve un endroit où manger. Il avait encore quelques sous dans sa poche, mais il ne savait pas non plus si ça allait être suffisant. Sans doute que le plus raisonnable, ça serait quand même qu’il entre chez lui, dans le but de travailler par exemple. Parce que mine de rien, il était quand même étudiant et il était évident qu’il avait besoin de travailler dans le but d’avoir quelque chose à la fin. Mais en même temps, il fallait encore qu’il ait envie de le faire. Mais il n’avait aucune envie de travailler justement, ce n’était pas quelque chose qui l’intéressait. En même temps, si ses études l’intéressaient, il était évident que la situation serait bien différente. Il marchait donc dans la rue et soudainement, son regard se posa sur un visage connu. Parfait, Jehan devait bien avouer que le fait de croiser quelqu’un qu’il connaissait et qu’il appréciait. L’homme s’approcha de lui en prime, c’était parfait donc. Jehan était plutôt content de se dire qu’il allait peut-être pouvoir passer du temps en compagnie d’une connaissance. D’une connaissance qu’il appréciait en plus, c’était forcément une bonne chose.

« En effet, tu sembles bien trop occupé par tes grandes occupations monsieur le capitaine ! » Répondit-il, avec enthousiasme, ne cachant pas le fait qu’il appréciait grandement de se retrouver devant son interlocuteur. Il se contentait simplement de taquiner l’homme sous ses yeux. « Dis-moi que tu as du temps devant toi, j’aimerais bien pouvoir profiter de ta présence ! »

Et pourquoi pas également profiter un peu de son argent aussi. Non parce que s’il pouvait se faire payer son repas et ses quelques boissons, Jehan n’allait pas dire non. Mais il n’allait pas non plus forcer Phoebus à le faire non plus, ce n’étai pas le but. Il l’appréciait, ils étaient amis, il n’avait aucune envie que ça change. À quoi bon ? Il perdrait bien trop à ce que ça change d’ailleurs.
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Message#Sujet: Re: Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail | Jehan & Pheobus   Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail | Jehan & Pheobus I_icon_minitimeLun 24 Juin - 15:02

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But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Phoebus avait tout de même certain statut, et un certain prestige, il fallait le reconnaître, mais ce n’est pas pour autant qu’il ne savait pas sympathiser avec les gens du peuple. Bon bah le mendiant qui était en train d’agoniser sur le bord de la route, il ne fallait tout de même pas abuser. Mais tous ses amis ne faisaient pas partie de la haute société, il était donc plutôt polyvalent. Du moins, c’était sa propre analyse, et cela n’engageait que lui, bien évidemment. Mais c’était tout de même un constat que Phoebus avait fait, et cela lui plaisait assez. En même temps, cela ne l’étonnait pas qu’il soit apprécié par beaucoup, tous ceux qui n’avaient rien à se reprocher n’avaient rien à craindre de lui, au contraire. Et il avait de nombreuses qualités et côtés qui amenaient les gens à venir vers lui, c’était donc tout à fait normal en fin de compte. Et c’était très bien ainsi.

Par exemple, on ne pouvait pas vraiment dire que Jehan faisait partie de l’élite. Même s’il n’était pas pauvre pour autant, à sa connaissance le jeune homme ne roulait pas sur l’or. Et il était plutôt dépensier, ce n’était pas forcément une mauvaise chose, mais il fallait avoir les moyens de le faire. Phoebus gérait très bien son argent. Il y avait la fortune familiale évidemment, mais il amassait aussi pas mal d’or avec son poste de capitaine de la garde. Et il était loin de s’en plaindre. Surtout qu’il ne se privait pas quelques plaisirs quand il en avait envie. Quand il fallait dépenser son argent, il le faisait. Et sans réticences. Enfin bref, pour en revenir à Jehan, il n’était pas connu pour avoir de l’argent à revendre, mais Phoebus l’appréciait tout de même. Dans tous les cas, il n’avait pas besoin d’avoir des connaissances fortunées, il se suffisait très bien à lui-même. Jehan était un jeune homme agréable, et Phoebus appréciait passer du temps en sa compagnie. S’il pouvait discuter avec lui quelques instants, il n’allait pas s’en priver. A moins que son camarade n’ait autre chose à faire, ce qui était tout à fait possible.

« En effet, tu sembles bien trop occupé par tes grandes occupations monsieur le capitaine ! Dis-moi que tu as du temps devant toi, j’aimerais bien pouvoir profiter de ta présence ! »

Phoebus lui adressa un sourire, il était bien content d’entendre ça. Au moins, ils étaient sur la même longueur d’onde, et il espérait qu’ils pourraient passer une agréable soirée, mais normalement, il ne devrait pas y avoir de problème. Les choses s’étaient toujours très bien passées entre eux, il n’y avait pas vraiment de raison pour que cela changer subitement ce soir. Phoebus n’avait pas spécialement prévu de ne pas rentrer tout de suite chez lui, mais bon, il était jeune et il fallait savoir profiter de la vie.

« Certes, je te l’accorde. J’ai une vie assez chargée, mais je pense que tu te caches aussi pas mal dans les tavernes et les bordels mon ami. Quoiqu’il en soit, oui j’ai du temps devant moi, et le passer en ta compagnie est une idée qui m’est agréable. »

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Message#Sujet: Re: Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail | Jehan & Pheobus   Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail | Jehan & Pheobus I_icon_minitimeMar 24 Sep - 13:11

Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail.
Jehan était vraiment heureux de pouvoir passer du temps avec son ami. Phoebus avait beau être le capitaine de la garde, ils s'entendaient très bien tous les deux. Bon, le jeune homme n'était pas non plus le dernier des pouilleux non plus, mais c'était sur qu'il n'était pas entièrement de la haute société. Ses parents n'étaient pas n'importe qui en soit, ils avaient eu leur petite renommé, sauf que ses parents n'étaient surtout plus la maintenant. Son frère n'était pas n'importe qui non plus, le Dom Frollo était quand même reconnu aussi, mais ce n'était en soit qu'un homme d'église. On ne tutoyait donc pas les duchesse. Et même si ma famille avait de l'argent, c'était Claude qui s'en charger et il ne lui en donnait qu'une petite partie à chaque fois qu'il venait lui faire la cours. Soit disant parce que Jehan devrait se montrer plus sérieux dans ses études, mais il avait bien d'autre chose à faire.

Comme passer son temps dans les tavernes et les bordels, comme ne manqua pas de souligner Phoebus en affirmant que si lui ne manquait pas d'être occupé par ses belles fonctions, le jeune homme n'était pas tout à fait accessible non plus. Jehan afficha un sourire, qui ne manqua pas de devenir plus grand quand le capitaine de la garde accepta de passer du temps en sa compagnie. En soit Jehan aurait très bien compris que son ami ait d'autres choses à faire et il ne lui en aurait pas tenu rigueur, mais en même temps il n'aurait pas manqué d'être déçu non plus. Pour une fois qu'il avait la possibilité de croiser Phoebus, il avait quand même grandement envie de profiter de sa présence et c'était ce qu'ils allaient pouvoir faire heureusement.

« Parfait, il y a une taverne pas mal juste la, on y sert du bon vin ! »

Jehan n'était pas un alcoolique, il aimait l'alcool bien sur et il en abusait sans doute beaucoup, mais il n'en était pas malade. En tout cas, ça lui donnait surtout la possibilité de connaître de bonnes adresses, comme celle où il avait l'intention de mener son ami en cet instant présent. D'ailleurs, le jeune homme ne prit même pas la peine d'attendre une réponse de la part de son interlocuteur pour se mettre en route. Après tout, il venait de lui dire qu'il avait envie de passer du temps avec lui, il allait donc le suivre. C'était l'occasion pour eux de pouvoir passer un peu de temps ensemble donc, puisque ça faisait trop longtemps qu'ils n'en avaient pas eu l'occasion.

A peine entré à l'intérieur, le jeune homme ne se retint pas de commande deux verres de bon vin, même s'il n'était pas forcément très raisonnable de commander quelque chose d'aussi cher, mais il verra ça plus tard.

« Bon alors, qu'est-ce que le capitaine de la garde à de beau à raconter ? » Demanda-t-il en déposant les deux verres sur leur table.
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Message#Sujet: Re: Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail | Jehan & Pheobus   Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail | Jehan & Pheobus I_icon_minitimeDim 8 Déc - 18:42

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But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Phoebus apportait beaucoup d’importance à son emploi, à son statut. En même temps, il avait une réputation à tenir, s’il faisait partie de la noblesse, ce n’est pas pour autant qu’il avait le droit de lambiner, au contraire, on montrerait beaucoup plus rapidement ses erreurs du doigt que celles des autres. Alors il refusait de faire la moindre erreur. Phoebus était dans tous les cas, un homme qui ne supportait pas l’échec. Il fallait toujours qu’il soit au plus haut niveau, et qu’il réussisse tout ce qu’il entreprenait. Pour le moment, il y arrivait sans mal. Il était capitaine de la garde, il était fiancé à un bon parti, il avait excellente réputation… évidemment, il y avait tous les à côté, mais ce n’était pas cela qu’il montrait au reste du monde. Mais même s’il apportait beaucoup d’importance à son travail, il savait aussi qu’il fallait parfois lâcher un peu les rennes et prendre du bon temps.

Et passer du bon temps, c’était une occupation que Phoebus appréciait grandement. Que ce soit en compagnie de femmes pour des moments charnels, ou en compagnie d’hommes pour discuter autour d’un verre. Et dans ce cas précis, ce serait un verre avec Jehan, ce qui lui convenait parfaitement. S’il n’avait aucun atome crochu avec son frère Claude, il s’entendait en revanche parfaitement avec Jehan. Comme quoi, les deux frères étaient en tout point différents. Enfin, il connaissait mal l’homme d’église, mais de par sa fonction, il était évident qu’il n’avait pas les mêmes envies que son jeune frère. Et Phoebus préférait de loin passer du temps avec le plus jeune des deux. Et c’était ce qui allait se faire à présent, et il ne doutait pas que la soirée serait très agréable.

« Parfait, il y a une taverne pas mal juste la, on y sert du bon vin ! »

Phoebus lui faisait confiance pour l’endroit de leur future beuverie. Il n’avait pas vraiment de lieu de prédilection dans tous les cas. Certains coins étaient mieux famés que d’autre, c’est sûr, mais justement, ce n’était pas dans les lieux les plus côtés qu’il serait bon de se souler. Même si rien ne garantissait qu’il finirait sous la table, il valait mieux prévoir, les choses pouvaient parfois aller très vite quand de l’alcool était en jeu. Il suivit donc son ami tranquillement, et s’installa à ses côtés, le laissant prendre les devants quant au fait de commencer leur consommation en commandant. Cette soirée s’annonçait déjà sous les meilleurs auspices en tout cas, et le jeune capitaine espérait que les choses allaient continuer ainsi.

« Bon alors, qu'est-ce que le capitaine de la garde à de beau à raconter ? »

Phoebus prit le temps de s’installer et de siroter son verre, il n’y avait pas vraiment de raison pour attendre de toute façon, autant commencer les festivités tout de suite. Quant à ce qu’il avait à raconter, eh bien tout dépendant de ce que Jehan avait envie d’entendre. Il savait pertinemment les sujets à éviter en présence de personne que l’on appréciait, et ceux qu’il valait mieux préférer. Il lui adressa un sourire en haussant doucement les épaules.

« La routine. Avec quelques imprévus, évidemment. Tiens d’ailleurs, j’ai croisé ton frère récemment, je crois qu’il ne m’aime pas beaucoup. »

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Message#Sujet: Re: Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail | Jehan & Pheobus   Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail | Jehan & Pheobus I_icon_minitimeVen 27 Mar - 18:14

Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail.
Jehan avait bien hâte d’entendre son ami lui parler de ce qu’il avait dans sa vie dernièrement. Non pas qu’il y ait forcément quelque chose dans sa vie, mais il fallait quand même avouer que Phoebus avait plus de chance que lui d’avoir des choses à raconter. Jehan menait une vie de bohème en quelque sorte, il devrait aller en cours et il n’y allait pas réellement. Il passait son temps à fréquenter des personnes qu’on ne jugeait pas forcément digne, il mangeait, il buvait, il vivait quoi. Mais il n’y avait pas grand-chose de si intéressant que ça. En tout cas, le jeune homme ne trouvait pas ça très intéressant, contrairement à la vie que le capitaine de la garde devait vivre de son côté. Cet homme était quand même à une place incroyable de la ville, il avait l’occasion de voir beaucoup de chose, bien plus que Jehan.

Cela dit, Phoebus commença quand même à affirmer qu’il avait juste la routine à raconter, à quelques imprévus près. C’était justement ces imprévus qui intéressaient le plus le jeune homme, il avait bien envie que son ami lui raconte quelques petites choses. D’ailleurs, c’était ce qu’il fit en affirmant qu’il avait croisé son frère dernièrement. Jehan afficha une grimace en entendant parler de Claude Frollo. Ce n’était pas qu’il n’aimait pas son frère, l’archidiacre était son frère quand même, on ne pouvait pas réellement défaire un tel lien. Mais la relation entre les deux frangins était quand même un peu particulière. L’ainé des Frollo ne cachait pas la déception qu’il ressentait pour le cadet et ce dernier ne manquait pas de confirmer le fait qu’il n’était vraiment pas à la hauteur des attentes de son religieux de frère.

« Je crois que mon frère n’aime pas grand monde si tu veux mon avis. » Dit-il pour répondre à la remarque de son ami, affirmant que Claude Frollo ne l’aimait pas beaucoup. Ce n’était pas spécialement étonnant. Phoebus était le genre d’homme avec qui Jehan parvenait à s’entendre, c’était bien la preuve qu’il ne pouvait pas s’entendre avec l’archidiacre, cet homme beaucoup trop droit dans ses bottes. « Il est trop rigide. C’est la religion ça et toutes ces sciences qu’il apprend à longueur de temps. Il pense avoir la science infuse, que sa parole est maîtresse dans la façon de vivre. Tu n’es vraiment pas son style, je ne pense pas que tu puisses faire grand-chose pour qu’il t’apprécie. »

C’était peut-être un peu pessimiste mais c’était clairement de cette façon que le jeune homme voyait les choses. Il ne pensait pas que son ami pourrait attirer les bonnes grâces du grand Frollo, parce que personne n’en était capable.
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Message#Sujet: Re: Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail | Jehan & Pheobus   Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail | Jehan & Pheobus I_icon_minitimeMar 19 Mai - 0:00

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Phoebus était toujours amusé de voir à quel point les frères Frollo étaient différents. Jehan et Claude c’était le jour et la nuit, et si on ne le savait pas d’avance, il était tout bonnement impossible de deviner qu’ils étaient frères. Même physiquement, ils n’étaient pas très similaires. Mais leurs attitudes, et leurs styles vestimentaires étaient très différents, alors cela creusait un plus grand fossé entre eux. Phoebus n’avait pour sa part, pas de frère, ni même de sœur, alors il ne savait pas s’ils lui auraient ressemblés, mais il y avait tout de même des fratries qui avaient des grosses ressemblances. Enfin, en tout cas, Claude Frollo et Jehan Frollo n’avaient en commun que le nom, c’était une évidence, et tout le monde devait être de cet avis, car aucun autre n’était possible.

Quoiqu’il en soit, le jeune capitaine n’avait pas eu un bon souvenir de sa rencontre avec l’archidiacre. Il n’y avait rien eu de particulier, mais il avait senti une sorte d’animosité de l’homme d’église. Ce n’était peut-être pas directement contre lui, il avait peut-être cette attitude avec tout le monde, mais ce n’était pas agréable. Phoebus était plutôt d’avis que s’il voulait vraiment attirer les fidèles vers la messe, il ferait mieux de se montrer un peu plus chaleureux, parce que Phoebus avait eu l’impression d’écoper de reproches sur reproches, alors qu’il n’avait rien fait de particulier, si ce n’est avouer qu’il avait loupé quelques messes. Et il était loin de se douter que le véritable problème, c’était que Frollo était jaloux de l’intérêt que lui portait la belle Esmeralda.

« Je crois que mon frère n’aime pas grand monde si tu veux mon avis. »

Phoebus afficha un petit sourire en buvant son frère tranquillement. Si c’était Jehan qui le disait, il le croyait, évidemment. Ce dernier connaissait son frère bien mieux que lui. Phoebus avait donc sa réponse, Claude Frollo n’était sympathique envers personne. C’était dommage pour lui, la religion n’était-elle pas censée promouvoir la paix et l’amour ? L’archidiacre en était une bien pâle représentation si c’était le cas.

« Il est trop rigide. C’est la religion ça et toutes ces sciences qu’il apprend à longueur de temps. Il pense avoir la science infuse, que sa parole est maîtresse dans la façon de vivre. Tu n’es vraiment pas son style, je ne pense pas que tu puisses faire grand-chose pour qu’il t’apprécie. »

Alors là, ce n’était pas un problème. Phoebus n’avait jamais eu l’intention de se faire apprécier de Claude Frollo. Leur rencontre avait été fortuite, et s’il devait y en avoir une autre, elle le serait tout autant. Il n’avait pas spécialement envie de se rapprocher de l’homme d’église. Evidemment, Phoebus croyait en Dieu, mais il estimait que le Saint Père avait toujours été particulièrement généreux avec lui, alors il n’avait pas de vraie raison de s’inquiéter, et d’aller se confesser. Jamais il ne ferait une chose pareille.

« Oh ne t’en fais pas va, je préfère nettement être apprécié des femmes. Et dernièrement, je ne suis particulièrement pas mal loti. J’ai rencontré une créature de rêve, et j’ai toute son affection. »

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Message#Sujet: Re: Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail | Jehan & Pheobus   Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail | Jehan & Pheobus I_icon_minitimeJeu 13 Aoû - 12:51

Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail.
Jehan apprécia d’entendre que Phoebus ne se prenait pas spécialement le chou avec le fait que son frère puisse l’apprécier ou non, il ne valait mieux pas se préoccuper de ce que Claude Frollo pensait de nous, si on voulait bien s’en sortir dans la vie. Cela dit, le jeune homme ne comprit pas spécialement pourquoi son ami lui parlait soudainement des femmes, affirmant qu’il préférait être apprécié des femmes plutôt que de Frollo ainé. Certes, mais ce n’était pas forcément comparable. Sans doute que si on s’y prenait bien, on pouvait être apprécié des femmes et de son archidiacre de frère en même temps. Non. En fait, c’était impossible parce que Dom Claude était juste incapable d’apprécier quoi que ce soit. Bon, Jehan avait conscience qu’il pouvait quand même se montrer un peu dur avec son frère, mais ce dernier le lui rendait quand même très bien.

En tout cas, Jehan ne put s’empêcher de se dire qu’au fond, peut-être que cette remarque de la part du beau capitaine de la garde, c’était juste pour lui parler de cette femme qu’il avait rencontré et qui s’emblait quand même sacrément l’emballer. Oh tient, donc. Il avait donc l’affection d’une créature magnifique, forcément ça l’intéressait le jeune Frollo.

« Tiens donc ? Mais tu me sembles clairement emballé là mon cher Phoebus. Est-ce que tu serais amoureux de cette créature ? Moi qui te pensais fiancé, ce n’est pas vraiment sérieux. » Il ne pensait évidemment pas ce qu’il était en train de dire. Le jeune homme n’avait absolument aucune attache pour la fidélité dans un couple, ce genre de chose. En même temps ce n’était pas pour rien qu’il ne s’entendait pas si bien avec son frère sur certain point. En tout cas, Phoebus donnait vraiment le sentiment d’être particulièrement épris de cette jeune créature et Jehan avait clairement envie d’en savoir plus. « Dis-moi qui elle est ! Je veux tout savoir ! »

En soit, Jehan avait conscience qu’il se montrer surement trop curieux. Mais il n’avait pas l’intention de se retenir. Il était curieux il voulait en savoir plus et quelque chose lui disait que son interlocuteur avait de toute façon envie d’en parler. Sinon il n’aurait pas abordé le sujet.
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Message#Sujet: Re: Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail | Jehan & Pheobus   Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail | Jehan & Pheobus I_icon_minitimeSam 17 Oct - 9:26

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Phoebus n’avait jamais cherché la compagnie des hommes outre mesure. Evidemment, se trouver un ou deux compagnons de boisson pouvait être divertissant, mais ce n’était pas sa priorité. Il était de lui-même dans un monde très masculin, les rencontres étaient faciles, il n’avait pas besoin de les chercher. Mais la compagnie des femmes représentait tout autre chose pour lui. C’était un moyen de plaisait fort agréable, et même si en règle générale, il n’avait aucun mal pour trouver ce qu’il voulait, ça ne tombait pas à tous les coins de rues. Mais il disait la vérité à Jehan, il préférait nettement être apprécié par ces demoiselles, une femme, ça avait toujours une attention gentille pour un homme qu’elle appréciait. La réciproque n’était pas forcément vraie, mais là était une des différences entre hommes et femmes, parmi de nombreuses autres.

Quoiqu’il en soit, il est vrai qu’une femme en particulier avait retenu son attention récemment. Plus que son attention d’ailleurs, mais ce n’était pas la peine de débattre durant des heures sur ce qu’il ressentait, à ce stade, c’était surtout une fascination et un désir prononcé qu’il avait pour la belle Esmeralda. Et il comptait bien ne pas laisser les choses ainsi très longtemps.

« Tiens donc ? Mais tu me sembles clairement emballé là mon cher Phoebus. Est-ce que tu serais amoureux de cette créature ? Moi qui te pensais fiancé, ce n’est pas vraiment sérieux. »

Certes, Phoebus restait fiancé à Fleur-de-Lys, ça ne changeait pas. Mais ce n’est pas parce qu’il était fiancé qu’il devait s’interdire de vivre. Ce n’était pas un mariage d’amour, mais plus de convenances, ils étaient fiancés depuis presque toujours. C’était presque comme accessoire pour lui, d’autant plus que pour l’heure, le mariage n’avait pas été prononcé. Il n’avait pas spécialement hâte qu’il le soit, cela-dit.

« Dis-moi qui elle est ! Je veux tout savoir ! »

Tout savoir, cela allait vite être relaté. Phoebus n’en savait pas énormément sur Esmeralda. Si ce n’est son nom, qu’elle était gitane et qu’elle dansait pour récolter de l’argent. Mais pour lui, tout ça n’avait pas d’importance, le charme de la belle était bien trop grand pour qu’il s’intéresse vraiment à tout ce qui était autour. Mais il pouvait tout de même donner quelques informations à Jehan, ça ne lui coûterait rien.

« Je ne vois pas le rapport avec mes fiançailles, tout cela est politique tu sais. Et puis, parler d’amour est peut-être un peu excessif mon cher… M’enfin, elle s’appelle Esmeralda. Elle doit être un peu plus jeune que nous, mais elle a déjà l’apparence d’une femme accomplie. Elle danse souvent sur le parvis de Notre-Dame. Ça doit ravir ton frère d’ailleurs. »

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Message#Sujet: Re: Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail | Jehan & Pheobus   Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail | Jehan & Pheobus I_icon_minitimeDim 6 Juin - 11:35

Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail.
Phoebus affirma qu’il ne voyait pas le rapport avec ses fiançailles. Jehan ne répondit pas à cette remarque, mais de son côté il voyait vraiment un rapport avec les fiançailles de son interlocuteur, quand bien même ce mariage était un mariage arrangé. Ce n’était pas parce qu’il se retrouvait à être fiancé de force, sans qu’il n’en ait réellement envie, d’une manière politique donc, qu’il ne devait pas avoir des valeurs vis-à-vis de ce mariage. Techniquement parlant, ça l’étonnerait quand même que sa très chère fiancée apprécie qu’il soit sous le charme d’une belle jeune femme, surtout au vu de la manière dont il en parlait. L’homme affirma que c’était trop de parler d’amour, mais Jehan attendait quand même d’en savoir plus pour se décider.

Bon, il connaissait quand même Phoebus il savait bien qu’il n’était pas le genre d’homme à s’attachait de trop. Ce n’était peut-être pas de l’amour donc, mais l’homme avait l’air sacrément mordue par cette jeune femme. Cette femme qui s’appelait donc Esmeralda, qui était un peu plus jeune qu’eux visiblement, mais qui avait quand même l’apparence d’une femme accomplie. Jehan ne savait pas vraiment ce qu’il entendait par ça, mais il cherchait à se faire une idée de cette jeune femme donc. Une jeune femme qui devait avoir la vingtaine d’année donc et qui passait son temps à danser sur le parvis de Notre Dame. Jehan afficha une grimace en entendant son ami affirmer que ça devait ravir son frère d’ailleurs.

« Je serais assez étonné que mon frère ait remarqué une jeune femme dansant sur le parvis, tant il est beaucoup trop concentré avec sa Sainteté. » Jehan ne se rendait pas compte à quel point il pouvait se tromper sur ce point, mais il ne pouvait évidemment pas imaginer une seule seconde que son frère soit intéressé par une femme qui danse devant Notre Dame. « Et elle vient d’où cette Esmeralda ? Je me trompe à penser qu’elle donne l’impression de ne pas vraiment être… d’ici ? » Une gitane peut-être ? C’était ce que Jehan se disait oui, parce que les gitans étaient nombreux dans la ville. Pour le plus grand bonheur de Jehan d’ailleurs, il n’appréciait beaucoup de personne de cette communauté. « Et donc, tu l’as charmé ? »

Visiblement c’était le cas, puisqu’il lui avait dit que la jeune femme était sous son charme. Tant mieux pour lui, autant qu’il profite pleinement de sa vie, qu’il profite de ce que ce monde avait à lui offrir.
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Message#Sujet: Re: Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail | Jehan & Pheobus   Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail | Jehan & Pheobus I_icon_minitimeMar 23 Nov - 11:13

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But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Les fiançailles de Phoebus n’étaient pas compromises sous prétexte qu’il était sous le charme d’une autre jeune femme. Il n’avait pas encore juré fidélité à Fleur-de-Lys devant Dieu, alors il pouvait bien se permettre de vivre sa vie comme il l’entendait. Il ne se souvenait même plus d’à quand ses fiançailles remontaient, tellement c’était lointain, et il n’avait pas attendu Esmeralda pour expérimenter les choses avec les femmes. Ce n’était pas non plus tous les quatre matins mais, quand il en ressentait l’envie. Fleur-de-Lys devait rester pure jusqu’à leur mariage, alors il était bien forcé d’aller se satisfaire auprès d’autres femmes de petite vertu. D’autant que sa fiancée n’était pas forcée de savoir quoi que ce soit.

« Je serais assez étonné que mon frère ait remarqué une jeune femme dansant sur le parvis, tant il est beaucoup trop concentré avec sa Sainteté. »

La remarque tira un sourire au capitaine. Effectivement, l’archidiacre était totalement investi dans sa foi, et dans ses fonctions. Mais il avait surtout dit cela d’un ton ironique. Il n’irait pas jusqu’à penser que l’homme pourrait être charmé par les mouvements envoûtant de la belle Esmeralda, mais plutôt dérangé qu’une gitane se donne en spectacle sur le parvis de sa chère cathédrale. Pourtant, la danse d’Esmeralda était bien plus intéressante que la messe donnée par Frollo. Sans aucun doute.

« Oh, je pense qu’il est capable de remarquer tout ce qui peut toucher à son intégrité, et à sa foi. Je ne pense pas qu’une gitane attirant les foules en dansant sur son parvis lui fasse très plaisir. Mais tu as peut-être raison, il n’a peut-être rien remarqué. »

« Et elle vient d’où cette Esmeralda ? Je me trompe à penser qu’elle donne l’impression de ne pas vraiment être… d’ici ? Et donc, tu l’as charmé ? »

Non, elle n’était pas d’ici. Mais il ne savait pas vraiment d’où… il lui semblait qu’elle lui avait un jour parlé d’Andalousie, sans qu’il n’en soit réellement certain. Mais ce n’était pas très important. L’exotisme ne dérangeait pas Phoebus, ce n’était pas comme s’il avait l’intention d’épouser la jeune femme. Pour être charmée, elle semblait l’être, mais il n’avait pas eu besoin de faire grand-chose, à dire vrai. Juste de la sauver du « monstre » comme elle l’appelait.

« C’est une gitane, elle fait partie de la communauté qui s’est installée à Paris il y a peu. Je crois qu’elle vient d’Andalousie, quelque chose comme ça. Oui, on peut dire ça. En fait, je l’ai aidée à se sortir d’un mauvais pas, et depuis, elle me prend pour son ange gardien. »

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